
Un écrin de nature sauvage
Avec plus de 6 000 km de sentiers balisés, l’Ardèche est un véritable paradis pour les amoureux de la marche. Entre falaises, gorges, volcans et forêts, le département offre une palette de paysages grandioses, du Parc régional des Monts d’Ardèche jusqu’aux rives sinueuses de la rivière Ardèche.

Pourquoi randonner en ardèche ?
- Une diversité de paysages : gorges, sommets volcaniques, forêts, villages authentiques.
- Des itinéraires pour tous, du jeune public aux marcheurs chevronnés.
- Une faune et flore riches, notamment sur la réserve des Gorges et au bois de Païolive
- Une accessibilité aisée : routes, parkings, hébergements, gîtes, et transports en commun limités, mais pratiques.







le Parc naturel régional des Monts d’Ardèche
S’étendant sur plus de 228 000 hectares, le Parc naturel régional des Monts d’Ardèche est un territoire d’une grande richesse naturelle et culturelle, labellisé UNESCO Global Geopark. Entre sucs volcaniques, forêts profondes, terrasses agricoles, et villages de caractère, il offre un cadre idéal pour la randonnée. Avec des centaines de kilomètres de sentiers balisés, adaptés à tous les niveaux, vous y décrirez une grande diversité de paysages : des crêtes du Mont Mézenc, aux sources de la Loire au Mont Gerbier-de-Jonc, jusqu’aux vallées secrètes de la Volane ou de l’Eyrieux.

le nord de l’ardèche : entre collines douces et plateaux cultivés
Au nord de l’Ardèche, les paysages se font plus doux et ouverts, contrastant avec les reliefs escarpés du sud. On y découvre une mosaïque de petits plateaux, collines boisées et vallées agricoles, offrant des panoramas paisibles et des sentiers accessibles à tous. Cette région, marquée par un passé rural riche, traverse vergers, vignobles et forêts de châtaigniers, notamment autour d’Annonay, Satillieu, ou dans la plaine du Rhône.
Moins fréquentée que le sud, elle séduit les randonneurs en quête de tranquillité, de balades patrimoniales et de chemins entre nature et culture, comme ceux menant aux vestiges industriels de la vallée de la Cance ou aux terrasses agricoles du Haut-Vivarais.
